MASSIF ENCHANTÉ
EN FILIGRANE
FÉERIE DES ALPES
« » Aujourd’hui, Christophe Gosselin se partage entre Thônes,- la capitale des Aravis, et ses deux ateliers. C’est dans les photographies, prises lors de ses nombreuses balades » Christophe Gosselin dessine d’abord au pinceau à calligraphie et à l’encre de Chine, puis travaille au pastel sec. Un style qui peut faire penser à l’estampe japonaise et la bande dessinée, avec ses contours tranchés. « » confesse cet ancien étudiant des Beaux-Arts et des Arts décoratifs. Il s’attache aussi à rendre l’habitat rustique et alpestre avec ses imperfections, granges aux toitures en tôle rouillée et planches disjointes, qui participent à la poésie des paysages. Mais si vous observez attentivement les toiles, vous remarquerez des caractères typographiques, des illustrations qui transparaissent Artiste plasticien, Christophe Gosselin travaille sur les pages d’anciens journaux, ici et le dont il a retrouvé d’illustres exemplaires dans des brocantes. Un clin d’œil rétro à la vie de la région, ses boutiques, fêtes ou événements, qui apparaissent, ou pas, sous la peinture et parlent aux visiteurs. « » Le plus bel hommage à cet appel de l’horizon.