S’il y a une statistique que le staff de l’équipe de France avait bien en tête au moment de se retrouver à Clairefontaine pour les matches qualificatifs à l’Euro 2024 contre Gibraltar (3-0) et la Grèce (demain, 20h45, TF1), c’est celle-ci : quatorze des vingt-trois joueurs retenus émargeaient à moins de vingt sélections. Chiffre passé à quinze depuis le forfait d’Adrien Rabiot (37), remplacé par Boubacar Kamara (3). Signe d’une régénération intense qui est un fil conducteur du mandat de Didier Deschamps – malgré une image de conservateur née de sa période marseillaise – mais se remarque davantage avec les retraites d’Hugo Lloris (145) et de Raphaël Varane (93).
contextualise le sélectionneur, rencontré par le JDD lundi à Clairefontaine. [deux défaites, deux nuls] Au bout de laquelle les Bleus se sont hissés en finale avec presque la moitié de l’effectif sous la barre des dix sélections. Conséquence de la