Nantes (Loire-Atlantique), le 16 juin
une hypothèse impensable pour la famille de Karine Esquivillon. “Karine ne serait pas partie sans eux, assurait avec conviction Adélaïde, la sœur de la disparue. L’amour qu’elle leur portait est énorme. Si elle avait voulu partir, elle aurait pu venir chez moi ou chez son aîné. Mais elle serait partie avec les petits.” D’autant plus que son dernier garçon, âgé de 14 ans aujourd’hui, venu au monde prématurément, souffre de surdité, et que Karine était on