Ccaptée en concert entre 2005 et 2012, cette intégrale avait paru en volumes séparés chez Querstand. Avec le bénéfice d’une et , dont la polyphonie n’a jamais sonné avec tant d’évidence, les , (version Haas, avec un étreignant adagio) et . Seules les et , dans lesquelles le chef opte respectivement pour les versions 1872 et 1873, déçoivent un peu par quelques tempos curieusement précipités (coda de la ). Il n’en reste pas moins que nous tenons ici la plus belle intégrale depuis Jochum et Wand, deux chefs qui, comme Blomstedt, ont servi la musique de Bruckner au lieu de s’en servir. Quant au Gewandhaus de Leipzig, il resplendit sous sa baguette avec un tout autre éclat que sous celles de Masur (terne) ou, plus récemment, Nelsons (peu concerné).
… ET CONFIRMATION
Jun 22, 2023
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