Le propriétaire n’est plus là, mais l’invité le plus régulier à la table de son salon parisien le remplace. Pendant que Rafael Nadal, quatorze dimanches parisiens à tirer le rideau d’une main et tenir la coupe de l’autre, se lamente au loin en écoutant son corps qui grince, celui de Novak Djokovic, à peine moins vieux (36 ans), rutile. Engagé dans une septième finale à Roland-Garros. Et plus très loin de retrouver le moelleux du fauteuil de numéro 1 (pour la 388e semaine, un record).
Avant-hier en demie, il y avait une forme d’ironie générationnelle à voir le