On trouve les planques. Les moustiques se tiennent en embuscade dans les zones d’ombre, recoins humides, bas des haies et herbes hautes. Les bosquets denses ont leur faveur : on les taille pour faire circuler l’air. Citadin, le moustique tigre préfère les jardins urbains, et ne s’éloigne pas à plus de 150 mètres de son lieu de naissance.
Allez, zou ! Régime sec. On traque l’eau stagnante, là où la femelle pond ses oeufs (jusqu’à 300). Une fois par semaine et après chaque pluie, on vide les coupelles des pots de fleurs, arrosoirs, pieds de parasols, bâches, etc. Mieux vaut être méticuleux, car il suffit de laisser une surface d’eau de la taille d’un verre pour que les larves s’y développent. On nettoie la gouttière pour que l’eau s’évacue sans délai. Et on couvre le collecteur d’eau de pluie d’un voile moustiquaire (6,99).