CLOSER Vous êtes en tournée avec L’Héritage Goldman. Justement, n’est-il pas trop lourd à porter?
MICHAEL JONES Je suis arrivé dans cette aventure par accident. Au début, il ne devait y avoir que des jeunes. Le musicien et producteur Erick Benzi, à l’origine du projet, cherchait quelqu’un pour chanter les passages en anglais de Je te donne. Il m’a finalement proposé de rejoindre la troupe. J’ai répondu: “Pourquoi pas?”
Comment avez-vous rencontré Jean-Jacques Goldman?
Notre rencontre n’aurait jamais dû avoir lieu! J’ai intégré le groupe Taï Phong pour le remplacer lors d’une tournée Il préférait rester à Montrouge pour s’occuper de la boutique familiale. Et il a eu raison, car la tournée n’a pas du tout marché! C’était des musiciens et compositeurs très talentueux, mais ils n’y connaissaient rien en organisation de spectacle. Ils pensaient remplir les stades comme Pink Floyd mais, en fait, on jouait devant 300 personnes!