e n’ai pas eu la chance, enfant et adolescente, de fréquenter régulièrement les salles de théâtre. En conséquence, je me souviens avec émotion de chaque rare soirée théâtrale, du frisson du rideau qui s’ouvre, de la solennité des trois coups. Plus tard, grâce à des amis journalistes et d’autres comédiens, j’ai pu parfaire ma bancale culture de l’art dramatique qui garde les stigmates d’une fascination teintée d’admiration pour ce qui est rare. Aujourd’hui, je retrouve un réflexe
Proust assassiné au Français: l’histoire d’un recommencement
May 11, 2023
3 minutes
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