Au marché des idoles, si Jean-Luc Godard n’est pas le produit le plus vendu, il est un des plus singulier. On ne sait pas trop ce qu’on admire encore chez « le plus con des Suisses prochinois », il n’est même pas certain qu’on l’ait jamais véritablement admiré.
Et pour ce qui est de l’aimer, la réponse n’est pas simple non plus, car il s’est évertué,