ès l’enfance, Laurent Durieux est séduit par l’illustration et la bande dessinée, notamment à travers les travaux d’Antonio Petruccelli (1907-1994), qui réalisa bon nombre des couvertures du magazine américain Après vingt ans de qu’il a préfacé, Francis Ford Coppola dit ainsi de ses images [qu’elles] À travers cet ouvrage, le théoricien du cinéma et de la bande dessinée Nicolas Tellop, rédacteur en chef adjoint du magazine décrypte l’univers pictural fantastique et hors du temps de cet artiste fasciné par le rétrofuturisme et l’atmosphère des années 40 et 50. Après avoir visionné plusieurs fois un film, Laurent Durieux en cerne les intentions narratives puis repère un détail dans une scène qu’il va condenser en une seule image. déclare-t-il. Des d’Alfred Hitchcock, à de Stanley Kubrick, ses affiches se distinguent par un souci du détail presque obsessionnel et par une approche novatrice du récit initial. C’est là pour lui tout l’enjeu: (…) Une interprétation qui ravira tous les cinéphiles.
