COMMENT DÉFINIRIEZ-VOUS VOTRE MÉTIER?
Je prendrais l’image du chef d’orchestre. La partition, c’est le scénario, le premier violon, c’est mon premier assistant, les membres de l’orchestre sont l’ensemblier, le chef d’atelier et ainsi de suite. Et si tout marche bien, on fait une belle exécution. Mon travail consiste à interpréter un scénario pour créer l’univers visuel qui va servir la narration du film.
VOTRE FORMATION D’ARCHITECTE VOUS POUSSE À CONSTRUIRE. POUR (2018), DE RALPH FIENNES, TOURNÉ EN SERBIE, VOUS AVEZ EN PARTIE RECONSTITUÉ L’AÉROPORT DU BOURGET. L’AVEZ-VOUS FAIT À L’IDENTIQUE?
