« En 1968, le clavecin des “modernes” empruntait beaucoup au piano : cadre métallique, toucher, résonance… la plupart des compositeurs avaient en tête le clavier de Berg, de Mozart à la est une descente dans la sonorité comme on descend dans une caverne. Son principe est pourtant on ne peut plus moderne puisqu’il s’inspire du cinématographe. A cause de la persistance rétinienne, vingtquatre images fixes par seconde donnent l’illusion d’un mouvement fluide; fonctionne ainsi : une myriade de notes voisines donnent l’illusion d’un temps lisse.
Obstiner
Apr 27, 2023
1 minute
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