Le 18 avril, la justice tranchera un drôle de débat : l’antenne française de Sea Shepherd, le mouvement de défense des mers fondé par Paul Watson en 1977, a-t-elle encore le droit d’utiliser le nom de l’ONG et son célèbre logo ? L’enjeu est de taille : le Jolly Roger, pavillon des pirates à tête de mort, le crâne orné d’un dauphin et d’une baleine, sous lequel se croisent un trident et un bâton de berger, a contribué à la popularité de l’association, connue pour ses actions « coups de poing » en mer.
veut croire sa présidente française, Lamya Essemlali Ils ? Sea Shepherd Global (SSG), une structure créée en 2013 pour coordonner