Whitney Peak a les yeux qui brillent. À l’occasion de son séjour parisien, l’actrice canadienne, nouvelle égérie du parfum Coco Mademoiselle de Chanel, passe sa première soirée au Palais Garnier. « Je suis éblouie » : elle cherche ses mots, mais déjà la sonnerie invite à regagner la interprétés notamment par Marc Moreau et Éléonore Guérineau, avant le duo, foudroyant, de Germain Louvet et Hugo Marchand dansant le de Mahler, sur une chorégraphie de Maurice Béjart. Suivront quarante-cinq minutes stupéfiantes avec sur une chorégraphie de Harald Lander, portée entre autres par Valentine Colasante, Paul Marque et Guillaume Diop. « C’est une première, c’est très impressionnant, explique Lyna Khoudri. Et surhumain : on ne se rend pas compte des heures de travail. » L’actrice en connaît un rayon sur le sujet. Son dernier film, réalisé par Mounia Meddour, (en salle actuellement) est consacré à la danse. « J’ai plongé dans ce monde pendant le tournage. J’ai eu la chance de rencontrer beaucoup de danseuses classiques, dont ma doublure : j’ai réussi à monter sur pointes, mais c’était le maximum ! »
