La finale de la Coupe du monde lui fait « encore mal ». Longtemps, il a observé impuissant ses coéquipiers se faire piétiner par les Argentins. Puis il est entré et, comme Randal Kolo Muani qu’il a servi sur la fameuse action, il est devenu un héros malheureux. « On doit vivre avec », dit Ibrahima Konaté, 23 ans, autant de sélections que de frères et de sœurs (8). Avoir une seconde chance fait désormais partie « des objectifs », et cela paraît aussi naturel que d’assurer la succession de Raphaël Varane.
Vous ambitionnez de devenir un jour « le défenseur ultime ». C’est quoi, selon vous ?
Disons que c’est plutôt une idée : je prends le niveau de Sergio Ramos, de Virgil Van Dijk