de au gribouillage, au lâcher-prise. Il fallait oser accrocher sur des cimaises ces petits crayonnés informes, d’ordinaire planqués dans l’atelier ou dans les marges d’un cahier. Les Beaux-Arts, en partenariat avec la villa Médicis à Rome, ont eu cette audace. Ils proposent dans leur Palais, côté quai Malaquais, une première exposition ambitieuse, aiguisée comme une pointe de plume, demandant de l’attention. Ample, elle compte près de 150 œuvres de la Renaissance à l’art contemporain, le nom des gribouillis en italien. La seconde, en petit format, montre dans le petit cabinet de dessins des tracés spontanés de professeurs ou d’anciens enseignants telle Annette Messager.
Gainsbourg, gribouillis et gazouillis… presque gratuits
Feb 12, 2023
3 minutes
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