« », dit-on en Russie. Bouddhiste du genre hyperactif, Kirill Serebrennikov cite cet adage. Au passage, le metteur en scène et cinéaste russe, en exil à Berlin depuis un an, confie que c’est qu’il se sent le mieux. On le lui souhaite, car son agenda déborde. En mars, à l’Opéra de Berlin, il mettra en scène . En mai, au théâtre Thalia de Hambourg, il dévoilera, un spectacle musical dont il est l’auteur. Enfin, l’été prochain, c’est à Paris qu’il, l’opéra romantique de Wagner. Et entre deux productions, toujours, le cinéma. À commencer par, injustement oublié du palmarès du dernier Festival de Cannes.
DE L’AMOUR ET DU MENSONGE
Feb 12, 2023
3 minutes
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