es images clignotent dans ma tête, comme autant de ces plaques de métal qu’il assemblait pour en faire des robes incrustées de vis ou de diamants. Une cotte de maille moderne aux mille plaquettes d’or pour Françoise Hardy (1967). Une robe de papier fabriquée dans les usines d’Anik Robelin. Ou cette scène d’anthologie au tout début de ? (1966), de William Klein, satire filmée d’une époque dont l’homme de fer de la mode était le démon-couturier : des robes en feuille d’aluminium plié défilant dans une grotte assurait son personnage, baptisé Isidore Ducasse et joué par Jacques Seiler, crâne rasé, le héros des.
PACO RABANNE ET MOI
Feb 05, 2023
3 minutes
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