assé le porche de la cour d’honneur du musée des Beaux-Arts (l’ancien palais de l’Archevêché), le regard se remplit de l’imposante masse végétale du cèdre, contemporain de Napoléon I. On aimerait pouvoir repousser les murs qui le cernent car on comprend que son envergure est bridée. Mais il faut composer avec cette contrainte architecturale : l’arbre devenu géant et les vieux murs chargés d’histoire sont dans l’obligation de cohabiter, ce qui exige un élagage latéral environ tous les dix ans.
Le cèdre bicentenaire de Tours
Sep 14, 2022
1 minute
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