lle a des bagues aux doigts, Aurélie Saada. Des boucles d’oreilles et des pendentifs dorés. Ses bijoux sont comme elle : ils brillent et carillonnent avec grâce. Trois mois après la sortie de son album, elle part en tournée. Ses musiciens le savent déjà, il n’y aura pas de Aurélie Saada a rencontré la Tunisie de ses racines. Jusqu’ici, elle la devinait dans le « cling-cling » des « bracelets dorés parfois en toc » des femmes de sa famille. De ce voyage, elle a fait un album à cœur ouvert, d’une sensibilité et une sensualité folles. Elle y parle amour, résilience, tabou, maternité et... érotisme culinaire (« Donne moi ta peine je vais la cuisiner / Cette petite chienne j’en ferai des beignets / Des à s’en lécher les doigts / Tu l’oublieras, tu l’oublieras »). Sans jamais se départir de son sens du glamour. « Je n’aime pas les carcans. Il y a quelque chose de très libéré dans le fait de porter des choses », lance-t-elle d’un air de défi.
QUELQUES MOTS GLAMOUR
Jan 25, 2023
2 minutes
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