ertaines phrases prennent une densité étrange en rencontrant le destin. Il en est ainsi des mots de Charles Péguy à Henri Alain-Fournier, après lecture du , publié en trois fragments en 1913 dans . Péguy a treize ans de plus que Fournier, et une réputation littéraire déjà bien établie quand il s'adresse ainsi à son cadet: « Vous irez
Vous irez loin
Jan 19, 2023
2 minutes
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