i la Formule 1, le rallye WRC ou le MotoGP cartonnent en audience malgré leur diffusion sur des chaînes cryptées, la Formule E, disponible en clair sur La chaîne, a, elle, toujours autant de mal à décoller. Voitures peu performantes et désespérément silencieuses, règlement trop complexe et tracés des circuits (éphémères) trop souvent soporifiques n’ont pas aidé au développement de la discipline. Chez nous, l’E-Prix (nom donné à un Grand Prix électrique) de Paris, engoncé entre les murs de béton, n’a pas non plus convaincu. Il a d’ailleurs disparu après quatre essais entre avril 2016 et avril 2019. Pourtant,
