ix ans après le premier, ICA remboîte dans un troisième coffret vingt volumes de la défunte collection « ». Si les précieuses notices ont disparu, si la qualité sonore des de Schubert et de Brahms, la de Liszt sous la solide baguette de Jascha Horenstein en 1972, les par Christa Ludwig en 1957 (Cluytens et le Philharmonia l’accompagnent avec fièvre), un preste de Mozart au son un peu nébuleux pour 1971, capté au Festival d’Aldeburgh, mais ciselé d’une main ferme par Benjamin Britten. Monteux, Stokowski, Sargent ( de Sibelius et de Vaughan Williams), Tennstedt ( de Schubert et Beethoven), Svetlanov ( de Chostakovitch), Jochum ( et de Haydn) sont là…
TRÉSORS D’ARCHIVES
Dec 22, 2022
1 minute
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