Le Journal du dimanche

« Le chacun pour soi ne peut pas marcher »

e Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne, demain à Bruxelles, devait traiter prioritairement de l’Ukraine. Mais au chapitre des « questions diverses et d’actualité », les suites de la crise de l’ ne manqueront pas d’aiguiser les débats. Pour les dix pays de l’Union européenne, dont la France et ne peut se résumer à un bras de fer franco-italien. nous dit le ministre espagnol des Affaires étrangères, dont le pays avait accueilli, dès 2018, un bateau humanitaire affrété par l’ONG Proactiva Open Arms avec 300 réfugiés à bord. insiste-t-il. Le ministre fait allusion d’un côté à l’augmentation du nombre de migrants empruntant les routes maritimes de la Méditerranée à cause de l’insécurité qui règne dans certains pays d’Afrique mais aussi à l’insécurité alimentaire et désormais au dérèglement climatique. Référence également au sort différent que connaissent les « pays de première entrée » comme la Grèce, l’Italie, Malte ou l’Espagne et les pays de destination européens situés plus au nord. plaide-t-il.

Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.

Plus de Le Journal du dimanche

Le Journal du dimanche5 min de lecture
Christine Kelly Sommes-nous de trop ?
Charles est mon ami. Je suis très touchée par son parcours À 42 ans, il est atteint de la maladie de Charcot. Tout perce à travers son regard. Vif. Lucide. Intelligent. Son sourire se dessine ou s’estompe pour traduire ses pensées. Charles est assis
Le Journal du dimanche1 min de lecture
Mots Fléchés
Solution
Le Journal du dimanche2 min de lecture
Atos Le duel Layani/Kretinsky
On a rarement vu une entreprise, qu’on dit si mal en point, aiguiser autant les appétits… Il faut croire qu’Atos, au-delà des pertes accumulées par le groupe (4,9 milliards d’euros de dette), possède par ailleurs des actifs et savoir-faire intéressan

Associés