e Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne, demain à Bruxelles, devait traiter prioritairement de l’Ukraine. Mais au chapitre des « questions diverses et d’actualité », les suites de la crise de l’ ne manqueront pas d’aiguiser les débats. Pour les dix pays de l’Union européenne, dont la France et ne peut se résumer à un bras de fer franco-italien. nous dit le ministre espagnol des Affaires étrangères, dont le pays avait accueilli, dès 2018, un bateau humanitaire affrété par l’ONG Proactiva Open Arms avec 300 réfugiés à bord. insiste-t-il. Le ministre fait allusion d’un côté à l’augmentation du nombre de migrants empruntant les routes maritimes de la Méditerranée à cause de l’insécurité qui règne dans certains pays d’Afrique mais aussi à l’insécurité alimentaire et désormais au dérèglement climatique. Référence également au sort différent que connaissent les « pays de première entrée » comme la Grèce, l’Italie, Malte ou l’Espagne et les pays de destination européens situés plus au nord. plaide-t-il.
« Le chacun pour soi ne peut pas marcher »
Nov 13, 2022
2 minutes
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