Jeter de la purée, de la soupe ou de la sauce tomate sur des œuvres d’art (les Tournesols de Van Gogh à Londres, Les Meules de Claude Monet à Berlin, La Jeune Fille à la perle de Vermeer à La Haye), se coller la main à la glu sur des voitures de luxe (Aston Martin à Londres, BMW à Munich), répandre de la peinture orange sur des bâtiments (le MI5 et la Banque d’Angleterre, à Londres toujours), interrompre des rencontres sportives (le Tour de France, Roland-Garros, le match Everton-Newcastle), bloquer des routes, des ponts, des tarmacs d’aéroports… La liste des opérations menées ces dernières semaines par les mouvements de rébellion écologiste est fournie. Et l’ouverture de la COP27 en Égypte, l’occasion médiatique de faire parler d’eux.
Leur objectif, contraindre les gouvernements à sortir de l’inaction climatique qui