oilà plus de trente-cinq ans, Renault remplaçait sa star la R5 par une seconde R5, surnommée Super 5 dans les pubs d’époque. Plus moderne sur de nombreux points (confort, suspensions, équipement…), elle conservait des motorisations plutôt anciennes, appartenant à l’inévitable famille Cléon. Un reproche formulé à l’identique à l’encontre de son aïeule douze ans plus tôt! Sur cette base à la fiche technique gentiment dépassée et peu séduisante, les ingénieurs de ce qu’on appelait encore la Régie ont greffé leur dans sa version atmosphérique (comprenez sans turbo) de 72 ch. Une cavalerie largement suffisante pour offrir une certaine vivacité à l’auto, mais qui ne prétendait pas affoler le chrono. La GT Turbo, jusqu’à 2500 tr/mn, c’est pareil, avec une direction encore plus pesante à l’arrêt. Pourtant, quelques indices m’ont déjà mis en éveil… Dehors, la GTT ne fait pas dans la discrétion. Extensions d’ailes, bas de caisse, spoiler, calandre spécifique, aileron et antibrouillards jaune… va y avoir du sport!
Silence, ça pousse!
Nov 09, 2022
3 minutes
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