ELLE S’INDIGNE, dénonce, accuse, vitupère, s’emporte, mais jamais, ô grand jamais, elle ne s’excuse. Nuancer son propos, reconnaître ses torts, regretter quelques excès, ce serait céder au patriarcat! Sus à la testostérone des vieux mâles blancs dominateurs ! Bienvenue dans le monde parallèle de Sandrine Rousseau…
Un monde où l’homme, mauvais, forcément mauvais, partout, tout le temps, est “déconstruit” pour mieux être rééduqué.
Un monde où l’intime devient public, où même le privé