Alors, quelle est la meilleure recette pour s’oxygéner ?
Retrouver la Mazda MX‑5 est toujours réjouissant, et la perspective de l’opposer à une Mini Cabriolet échauffe les esprits. Heureusement qu’elles enlèvent le haut d’une simple pression du doigt, histoire de se rafraîchir les idées avec un grand bol d’air salvateur. Nos deux découvrables ont en commun deux arguments : un prix relativement abordable par rapport aux autres roadsters et cabriolets, et l’envie de donner le sourire à leur conducteur. Mais chacune propose sa propre conception du plaisir.
En reprenant tous les ingrédients indispensables pour raviver la joie de conduire, le plus iconique des petits roadsters part avec un très net avantage sur le papier. Une propulsion légère qui installe son moteur 2.0 atmosphérique en position centrale avant, avec une boîte manuelle et un différentiel autobloquant, cela promet toujours un bon moment derrière le petit volant cuir à la jante fine. Même si cette ambiance particulière ne peut se partager qu’à deux, la recette lancée par Mazda en 1989 a depuis rencontré un succès incroyable. Plus conviviale, la Mini fait valoir deux petites places arrière en plus, sur lesquelles certains adeptes de la conduite cheveux au vent ne transigeront pas.