e qui m’attire, c’est la courbe libre et sensuelle, la courbe que je rencontre dans les montagnes de mon pays, dans le cours sinueux de ses fleuves, dans le nuage du ciel, dans le corps des femmes. » Oscar Niemeyer savait trouver les mots pour évoquer les richesses de son architecture, qu’il voulait proche des formes du monde. Une architecture où les arrondis viennent adoucir les lignes droites. L’occasion de se démarquer de celui qui fut son maître, Le Corbusier, fervent adepte, lui, de l’angle droit. On doit à Niemeyer plus de 600 constructions à travers le monde parmi lesquelles, en France, le siège du Parti communiste à Paris, la Maison de la culture du Havre (surnommée « le pot de
