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Au nom du père

u départ, il y a la bande dessinée autobiographique de Michel : dans les années 1960, le jeune Michel s’interroge sur le silence de son père; il découvrira qu’il est un rescapé d’Auschwitz. L’album est devenu un film réalisé par Véra Belmont, , à l’animation sans doute trop simpliste mais qui parvient à déployer son sujet petit à petit - la transmission, la parole traumatisée, la mémoire - et à laisser poindre l’émotion. Le récit ne laisse rien en chemin: les personnages, les enjeux, les péripéties trouvent leur juste place au bon moment.

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