À la tête de quelques milliers d’Allemands et d’askaris - les supplétifs africains –, Lettow-Vorbeck résiste aux troupes belges et britanniques jusqu’à la fin de la guerre.
L’artillerie est insuffisante, les armes souvent obsolètes: il faut compenser en récupérant tout ce qui peut l’être et en s’appuyant sur la loyauté des troupes.
L’équipement des troupes de Lettow-Vorbeck est des plus modeste: par exemple, un seul avion! Les moyens de l’ennemi sont dix à vingt fois supérieurs.