Etudiant, Jérémy Gobé abandonne un projet de carrière en architecture pour se consacrer à l’art, sa passion, et devient diplômé de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Nancy, puis de l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris. Son travail artistique est d’abord influencé par les friches industrielles du Nord de la France, la perte des savoir-faire et le réchauffement climatique. Il développe un travail altruiste et ses œuvres sont ancrées dans les enjeux actuels. En 2018, il crée le projet Corail Artefact, pour allier l’art, la science, l’industrie et l’éducation afin de sauver le corail, qui inspire désormais ses œuvres. Il a participé à de nombreuses expositions en France (Palais de Tokyo, Centquatre-Paris, Fondation Bullukian…) et à l’international (Bass Museum Miami, Hangzhou China Museum, Shanghai Yuz Museum…) et a reçu plusieurs prix.
D’où vous vient cet intérêt pour le corail ?