UN PARAMOTEUR AU TOP !
Les parapentes/parapomoteurs restent assez marginaux en aéromodélisme. Il faut dire que la discipline est jeune, et qu’il n’existait quasiment rien sur le marché il y a encore dix ans…
Les qualités voilières de certaines de ces machines sont surprenantes pour le néophyte: le taux de chute est souvent faible (ce n’est pas un parachute…), il est possible de prendre des ascendances, et les capacités en voltiges sont parfois très surprenantes (boucles, tonneaux, etc.). Le pilotage est à fois facile (mais pas ennuyeux) en vol classique, et devient technique en voltige. Le point le plus limitant de ce type de modèle est la capacité limitée à supporter du vent: les voiles ont en effet souvent du mal à remonter un vent de plus de 10/15 km/h, à moins de les lester fortement. Il faut dire que la seule façon d’augmenter la vitesse du modèle est d’augmenter sa masse, car le moteur ne sert qu’à prendre de l’altitude. Enfin, la seule façon, ce n’est pas tout à fait vrai: certaines voiles, comme cette Cross Alps, peuvent être équipées d’accélérateurs. On va tirer sur les suspentes avant (grâce à deux servos) afin de diminuer l’incidence de la voile, ce qui va augmenter un peu la vitesse de vol. Mais cette fonction « accélérateur » n’est pas possible avec toutes les voiles (seulement avec
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