Dans le jardin de Clemenceau
J’ai le plus beau jardin du monde. » Ainsi parlait Clemenceau de son jardin de Vendée à Saint-Vincentsur-Jard.
En 1919, il s’installait définitivement dans cette maison basse de pêcheurs, longue vendéenne à la façade blanche, aux volets vert d’eau, ouverts sur l’océan, coiffée d’un toit de tuiles rouges, au bout du monde, sur la dune, face à la mer.
Il y vivra en simple locataire, à la belle saison, jusqu’à sa mort en 1929, son propriétaire, le commandant Amédée Luce de Trémont lui ayant signé un bail à vie, gracieusement.
Clemenceau aimait beaucoup cette maison affectueusement surnommée « Sa bicoque », « Son château horizontal », au lieu-dit Belébat : « Quand Belébat vous prendra, Belébat vous gardera. »
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