« Direction: deuxième étoile à droite, et tout droit jusqu’au matin ! »
Deux années de pandémie, de drames pour certaines familles, de privations, de contraintes en tout genre, deux années de sirènes d’ambulances et de camions de pompiers, deux années d’infos continues sur la situation du Covid-19, deux années en ville pour la plupart d’entre nous – rimant avec stress, autorisations, télétravail, quarantaine, isolement, annulations, passes sanitaires, vaccinations, rappels, files d’attente, labos, Ehpad, hôpitaux... Dire que ces deux dernières années ont été anxiogènes est un doux euphémisme ! Qui n’a pas rêvé d’évasion, de ciel bleu, de mer turquoise, de végétation luxuriante, du chant des oiseaux, du bruit du ressac, de marcher pieds nus dans le sable toute la journée, de partir à la chasse au trésor avec ses enfants, de chanter, de respirer... de vivre? C’est vrai, nous sommes presque tous partis en vacances, mais souvent pas trop loin s’est étanchée à la montagne, du côté de l’Atlantique ou dans le Sud-Est, mais toujours (hélas !) avec une concentration démographique proportionnelle à notre besoin d’espace, sans bruits parasites importés de nos grandes villes de béton...
