EN CE 1er AVRIL frisquet, on retrouve Bertrand Belin, tout de noir vêtu, un café à la main, dans les locaux parisiens de sa maison de disques. Trois ans après , son dernier disque, l’arrivée d’une pandémie, le franchissement symbolique de la cinquantaine et une déflagration dans l’est de l’Europe, l’heure n’est pas vraiment à l’euphorie. Le rocker breton à la voix sépulcrale se dit pourtant fier de présenter son septième album.
Tambour battant
Apr 26, 2022
3 minutes
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