Pourquoi les dépôts sauvages persistent
La vidéoverbalisation au service de la propreté ? Depuis septembre, une expérimentation est menée dans le 18e arrondissement : sur un site tenu secret, des caméras de rue saisissent les numéros d’immatriculation des véhicules de personnes effectuant des dépôts sauvages. Les images sont analysées a posteriori par les agents de la direction de la prévention, de la sécurité et de la protection, désormais policiers municipaux.
Permis par une loi de 2019 qui renforce le pouvoir de sanction des collectivités locales en la matière, et parconcède-t-on ainsi à la mairie de Paris. Fiabilité technique – l’équipement nécessite un réseau téléphonique de qualité –, problèmes de visibilité, véhicules garés hors champ… Les axes de progression restent nombreux. En attendant, les dépôts sauvages de déchets perdurent.
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