Giflée en plein procès pour l’affaire d’inceste…
Aurillac (Cantal), le 1er avril
Vendredi 1 avril, Coline Berry-Rojtman faisait son entrée au tribunal correctionnel d’Aurillac, mais cette fois sur le banc des accusés. Elle devait y être jugée pour diffamation, suite à la plainte déposée par son ex-belle-mère, Jeane Manson. Coline affirmait en effet avoir été victime d’inceste par son père, qui aurait agi avec la complicité de Jeane Manson, sa compagne de l’époque. “Je ne lui ai jamais fait de mal…, a déclaré la chanteuse américaine au micro de BFMTV avant l’audience. Il faut qu’elle l’admette. J’aimerais qu’elle dise la vérité. […] Je voudrais lui dire: « Tu sais très bien que je ne t’ai jamais fait ça, et tu sais très bien que ton père non plus. » Il faut arrêter ces mensonges.” Une fois à la barre, celle qui avait épousé Richard Berry en 1984 n’a pas mâché ses mots. Niant en bloc les accusations, elle a même affirmé que Coline Berry-Rojtman était appelée “Coco la mytho” depuis une dizaine d’années dans la famille. Et lorsque l’avocate de Coline a abordé les “insultes dont sa cliente a fait l’objet”, Richard Berry, à son tour, a vu rouge: “Ce tombereau d’insultes, c’est moi qui l’ai pris publiquement. Publiquement! De façon honteuse. Scandaleuse. Mensongère. Ehontée.” Toujours indigné, il a ensuite jugé bon de préciser: “Je n’ai pas voulu porter plainte parce que c’est ma fille. J’ai tenu à témoigner pour soutenir Jeane Manson.”
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