“Mes petites impatiences”
UIT ANS QUE L’ON A SUCCOMBÉ À SON STYLE PSEUDO-DÉCONTRACTÉ, SON DON POUR LES CHANSONS CATCHY MAIS JAMAIS FACILES, son ton plus blasé que celui d’une ado parlant à ses parents et au cocktail de mal-être et d’autodérision de ses paroles. Elle a été comparée à certaines icônes grunge ou indie des années 1990. Et qualifiée à tort de slacker — un comble pour celle qui, quand elle n’écrit pas, ne tourne pas ou ne collabore pas