«AUJOURD’HUI, JE SUIS MOINS ACTEUR»
hurle la voix rêche sortie de l’interphone. Gérard Depardieu reçoit chez lui, dans l’immense pièce remplie d’œuvres d’art et de livres qui lui sert de bureau, de cuisine et de salon. Cette année, on le verra beaucoup à l’écran, avec pas moins de sept films à l’affiche. Il y a des petits rôles acceptés par amitié (, d’Édouard Baer, toujours en salles) ou par facilité (, de Thomas Gilou, sorti mercredi). Et il y a des films pour lui et portés par lui, comme , adapté de , de Simenon, par Patrice Leconte, qui le montre en commissaire presque sentimental. Ou , de Constance Meyer, qui capture la fragilité plus rare encore d’un acteur star désabusé. Le comédien de 73 ans dit ne vouloir parler que de cinéma (et ne souhaite pas répondre à la question posée sur la mise en examen pour « viols
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