Qu’allons-nous devenir?
écemment interpellé par une news qui parlait d’un sondage effectué sur la population parisienne (enfin, quelques milliers de personnes alors qu’il y a deux millions d’habitants intra-muros à Paris!), dont sortait le fait que ces « sondés» souhaitaient ne plus voir (et surtout entendre) de deux-roues motorisés « thermiques» dans la capitale, je me suis vertueux mais finalement pas tant que ça. L’exemple que j’évoque au début de mon courrier, celui d’un vague sondage effectué à Paris, il concerne avant tout le bruit. Des riverains excédés par le boucan des deux-roues motorisés « thermiques ». Là-dessus, il faut avouer qu’il y a encore du boulot. C’est évident, le gros avantage de l’électrique, c’est le silence. Et les pots d’échappement de nos motos laissent souvent passer un excès de décibels qui nous nuit sur le long terme. Reste à voir ce que nous préparent les constructeurs, si une autre voie est possible ( de l’hydrogène?). L’innovation se faisant souvent du côté de la compétition, que vont nous « sortir» les constructeurs engagés en MotoGP? Si j’en crois la dernière interview de l’Italien Gigi Dall’Igna, le chef de projet MotoGP chez Ducati, dans votre numéro de février, il a des idées pour un avenir proche, ce qui doit nous permettre de rester optimistes quant à l’avenir lointain de la pratique de la moto. Si je dois faire vœu de quasisilence pour pouvoir continuer à rouler avec ma moto, qui sera peut-être d’ici là « recyclée» avec un moteur autre que thermique, je suis partant! Cordialement.
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