La capote de rouf en 10 questions
CERTAINS PROPRIETAIRES peinent à adopter la capote de rouf. Leurs arguments ? Une visibilité contrariée vers l’avant, un fardage important, une gêne potentielle pour manœuvrer et une ligne de pont cassée. N’en déplaise aux puristes, une bonne capote de rouf change la vie en navigation ! D’ailleurs, les coureurs au large ne s’y sont pas trompés avec leurs casquettes en dur qui couvrent désormais l’intégralité du cockpit de leurs IMOCA…
BIEN AU CHAUD DERRIERE SA CAPOTE
Très efficace pour protéger les équipiers de veille du vent, de la pluie et des embruns, la capote permet de garder un œil sur l’extérieur sans s’exposer inutilement, mais aussi de protéger la descente d’éventuelles infiltrations. Pendant les quarts de nuit, on viendra ainsi siéger en haut de la descente sous sa divine protection pour garder toute sa vigilance sur le trafic environnant, le cap et le réglage des voiles. Même le louvoyage dans la brise n’est plus une punition avec une capote. De plus, quand elle est bien couvrante en latéral, la capote protège les équipiers installés sur les bancs du cockpit qui peuvent profiter au maximum du grand air. Le meilleur antidote pour limiter l’effet du mal de mer et garder l’énergie et la chaleur suffisantes pour la suite de la traversée. De quoi envisager des sorties « toutes saisons » qui auraient peut-être été compromises auparavant. Et même en été, la capote de rouf joue son rôle de régulateur thermique en gardant la descente au frais lorsque le soleil tape dur en été. Pratique avec ses éventuelles mains courantes et autres poches de rangement, la capote de rouf a réponse à tout… Reste à savoir la
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