Potagers urbains low-tech ou high-tech?
es points communs de ces deux approches sont une empreinte au sol très réduite et la volonté de cultiver de bons produits, en privilégiant l’économie des ressources. L’inventeur américain de ces potagers verticaux voulait répondre à une Initié par la municipalité, le projet répond à un cahier des charges complexe. Il fallait s’intégrer dans un milieu urbain très dense, sur une surface de 350 m2 à peine, profiter des heures d’ensoleillement, arroser au minimum et produire intensément. Sur ce site, on cultive à tous les étages, en fonction de la lumière. Au sous-sol, une champignonnière, dans les étages inférieurs, des légumes feuilles et des betteraves et, en haut, , se régale le chef de culture, Matthieu Lorenzo.
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