Hymne à Saint-Saëns
Nov 25, 2021
4 minutes
François Laurent
Le premier des onze CD vous accueille avec la monumentale Symphonie no 3 (1886), dont l’orchestre englobe un piano à quatre mains et un orgue. Comment ne pas donner raison à Paul de Louit qui couronnait dans sa discographie comparée la version new-yorkaise de Munch, avec Edouard Nies-Berger à la console? Les scrupules et le sentiment grandiose qui animent cette gravure de 1949 gardent une fraîcheur, une puissance de conviction saisissantes.
Dédicataire de la plus « révolutionnaire » des cinq symphonies de Saint-Saëns, Liszt fut avant cela l’inspirateur de ses quatre Mitropoulos, dans (1877), oppose en 1956
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