Ideat

Au septième ciel du vintage

uand 72 % des Français considèrent que c’est aux marques de changer les choses en matière de réchauffement climatique (selon l’Institut national de la consommation, en 2020), le Printemps se devait d’accompagner le mouvement. fast fashion explique Nathalie Lucas-Verdier, directrice des achats mode femme au Printemps. Dans le nouvel espace, dénommé « 7 Ciel », de ce « Second Printemps » s’expose la sélection pointue de vêtements vintage de Marie Blanchet. L’experte de la chine réunit un vestiaire d’exception signé Fendi ou Saint Laurent, permettant à chacune de mixer un morceau d’histoire de la mode avec des pièces récentes. dit-elle. L’expérience d’achat est plus glamour que sur ordinateur: le grand magasin a transfiguré un espace fermé depuis plus de soixante ans, au septième étage. Entre structures Eiffel et murs de brique laissés bruts se déploie un dôme où frissonnent 12000 oiseaux en origami, façonnés par le designer Charles Kaisin. Plus loin, sous la coupole Binet, ouverte sur une terrasse à la vue imprenable, s’exposent des marques vintage ou d’upcycling choisies pour leur sincérité. dit Nathalie Lucas-Verdier. Parallèlement, le Printemps octroie un label « Unis vers le beau responsable » à toutes les marques respectant un ensemble évolutif de 22 critères, autant humains qu’éthiques et écologiques.

Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.

Plus de Ideat

Ideat2 min de lecture
Actus Co
Avec son effet bois, la collection de carreaux de céramique d’extérieur « Vancouver » met en valeur les espaces dans une élégance intemporelle. En plus des versions antidérapantes, idéales pour les terrasses et les bords de piscine, cette ligne peut
Ideat2 min de lecture
1937 La chaise T37
Quatre-vingt-sept ans après son lancement en production, à la suite de deux ans de développement, la chaise d’extérieur T37 de Tolix se redécouvre dans les salons de design, comme en mars dernier au premier Matter&Shape à Paris. La simplicité de son
Ideat2 min de lecture
50 Ans D’architecture « Mérienne »
«Marie-Laurede Noailles était passionnée par la science-fiction », rappelle Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles. La tête pensante du centre d’art varois l’assure: la célèbre mécène et artiste aurait été ravie de voir l’Aquabulle, signée

Livres et livres audio associés