AUDREY FLEUROT L’ÉQUILIBRISTE
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Paris Match. Vous choisissez des projets extrêmement variés. Qu’est-ce qui vous séduit dans ce mélange des genres ?
Audrey Fleurot. Le grand écart, justement. Je n’ai pas de plan de carrière, j’aime casser mon image. Je m’ennuie vite. Cette année a été très dense, mais je ne pouvais pas rêver mieux: j’ai tourné une comédie, “HPI”, “Mensonges”, qui est un thriller, un film de genre pour Arte, et, là, je tourne une série d’époque avec “Les combattantes”. La seule chose qui me manque, ce serait un film de zombies ou de pirates. [Elle rit.]
“Le bazar de la charité”, “Engrenages”, “HPI”… Vous avez du nez pour les séries qui marchent ! Comment l’expliquez-vous ?
Je sais lire les scénarios. Et j’ai surtout eu la chance de les avoir entre les mains. C’est incroyable de pouvoir passer tant de temps avec mes personnages, de grandir avec eux. On a une responsabilité envers le téléspectateur. Il y a une attente, un attachement. Sur le plateau d’une série, je retrouve
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