Nicolas Bedos «JEAN DUJARDIN A UNRAPPORTDEGRAND FRÈRE AVEC MOI»
Il tourne sous le soleil avec la « plutôt cool » Isabelle Adjani dans une belle villa à Théoule-sur-Mer, et Nicolas Bedos reconnaît qu’il lui faut bien ça pour oublier le triste scénario qui se joue en ce moment dans les salles obscures avec la mise en place du passe sanitaire. Et qui risque de ruiner mercredi prochain la carrière au box-office d’un des blockbusters français de l’été, OSS 117 – Alerte rouge en Afrique noire, dont il a assuré la réalisation. « Là, j’aurais très envie de m’énerver, mais je préfère concentrer mon énergie sur la fabrication de Mascarade, un film qui sortira, je l’espère, dans un monde redevenu normal. Mais quel gâchis quand même : les aventures transgressives d’Hubert Bonisseur de La Bath sont idéales pour oublier la morosité ambiante ! » Son bonheur de diriger son copain Dujardin et son plaisir à se prendre pour Steven Spielberg convaincront peut-être les non-vaccinés de se mettre un coton-tige dans le nez pour aller au ciné.
Qu’est-ce qui vous a convaincu d’intégrer la franchise OSS 117, vous qui écrivez vos propres films ?
C’est vrai, je me suis replongé dans les œuvres des grands maîtres de ma jeunesse.
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