Le Journal du dimanche

Nicolas Bedos «JEAN DUJARDIN A UNRAPPORTDEGRAND FRÈRE AVEC MOI»

Il tourne sous le soleil avec la « plutôt cool » Isabelle Adjani dans une belle villa à Théoule-sur-Mer, et Nicolas Bedos reconnaît qu’il lui faut bien ça pour oublier le triste scénario qui se joue en ce moment dans les salles obscures avec la mise en place du passe sanitaire. Et qui risque de ruiner mercredi prochain la carrière au box-office d’un des blockbusters français de l’été, OSS 117 – Alerte rouge en Afrique noire, dont il a assuré la réalisation. « Là, j’aurais très envie de m’énerver, mais je préfère concentrer mon énergie sur la fabrication de Mascarade, un film qui sortira, je l’espère, dans un monde redevenu normal. Mais quel gâchis quand même : les aventures transgressives d’Hubert Bonisseur de La Bath sont idéales pour oublier la morosité ambiante ! » Son bonheur de diriger son copain Dujardin et son plaisir à se prendre pour Steven Spielberg convaincront peut-être les non-vaccinés de se mettre un coton-tige dans le nez pour aller au ciné.

Qu’est-ce qui vous a convaincu d’intégrer la franchise OSS 117, vous qui écrivez vos propres films ?

C’est vrai, je me suis replongé dans les œuvres des grands maîtres de ma jeunesse.

Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.

Plus de Le Journal du dimanche

Le Journal du dimanche2 min de lecture
« Notre-Dame Ou Un Petit Clocher, C’est La Même Importance »
Quels ont été les critères de sélection pour les 100 édifices qui bénéficieront de la collecte nationale ? L’intérêt patrimonial et le caractère unique de l’édifice, bien sûr. Puis nous prenons en compte les subventions et protections déjà mises en p
Le Journal du dimanche1 min de lecture
La Fleur de Buriti
Depuis plusieurs générations, les peuples indigènes d’Amazonie mettent en œuvre tous les moyens nécessaires pour se battre contre l’envahisseur blanc. Hélas, le gouvernement ne les entend pas… Entre fiction et documentaire, ce film traduit l’engageme
Le Journal du dimanche2 min de lecture
Psychologie Le Traumatisme De L’orphelin
Il pleut en ce jour de novembre 2000 sur le pavé du 101 rue de Grenelle, dans le 7e arrondissement. Installé dans un petit salon, au rez-de-chaussée d’un ministère, dans l’attente d’un entretien, j’aperçois de dos la silhouette d’un homme en manteau

Associés