CLINTON FAIT DE SA VIE UN ROMAN
De notre correspondant à New York
Paris Match. Votre livre raconte le kidnapping de la fille d’un ex-président des États-Unis. On pense inévitablement à Chelsea, votre fille unique. Avez-vous eu peur que ça lui arrive ?
Heureusement, il n’y a jamais eu de menace concrète. La seule fois où Hillary et moi avons eu peur pour Chelsea, c’est le 11 septembre 2001, même si elle n’était évidemment pas visée. Mais elle habitait près des tours du World Trade Center et, depuis qu’elle était partie de la Maison-Blanche, elle n’avait plus aucun garde du corps. C’est la règle chez nous, en Amérique: un ex-président a droit à vie à un dispositif de sécurité allégé, mais pas ses enfants adultes. Et pourtant la menace existe encore, car il se trouve toujours, quelque part dans le monde, quelqu’un pour lui en vouloir d’une décision qu’il a prise quand il était en
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