IL ETAIT UNE FOIS…
Il est des essais plus faciles à écrire que d’autres. Des circuits qui émoustillent davantage. Des moteurs dont on se souvient. La GT3, type 992, prise en main sur le spectaculaire tracé de Bilster Berg, à une époque où les déplacements à l’étranger sont d’une complexité inouïe, coche toutes ces cases. Sans que cela soit une surprise, évidemment. Nous vous avions tant vanté les bienfaits de la précédente génération qu’il était peu probable que nous soyons déçus par la descendance. C’est peu de le dire. Pour résumer, la GT3, depuis son lancement à l’été 1999, articule sa raison d’être autour de deux axes : un moteur atmosphérique volubile, pour les sensations mécaniques, et un comportement tranchant et agile, pour faire d’elle le Graal, l’Elue, cette auto avec laquelle l’amateur assure la liaison maison-circuit, et vice-versa, par la route (comprenez sans plateau de transport). Nous en sommes maintenant à la septième itération et, si chacune d’elles a apporté son lot d’améliorations, la dernière marque un tournant dans l’histoire de la reine des track days.
Aujourd’hui, c’est atelier sac de sable en ce qui me concerne. A ma gauche, Jörg Bergmeister. Soit « Jörg le Maître de la Montagne» de notre côté du Rhin. Il ne pouvait pas mieux porter son blaze, lui ! L’Allemand de 1,94 m , pilote d’usine Porsche depuis des lustres, a tout gagné : Le Mans,
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