SCHUBERTIADES EN OR
Un quart de siècle plus tard, le Arnold Schoenberg Chor n’a toujours pas été égalé dans la production chorale profane de Schubert, que ce soit le de Goethe qui trouve une autre ampleur en passant de quatre voix a cappella à huit sur un lit changeant de cordes. Cela nous vaut aussi un décliné en versions féminine et mixte : la première séduit par le charme immédiat du chant d’Angelika Kirchschlager, la seconde par le contraste qu’offre le dialogue entre la mezzo et le chœur masculin lui servant d’écrin. Le programme ne s’interdit pas quelques échappées spirituelles. Ainsi dans la () que défend au premier rang une Ruth Ziesak de grand style, lequel rayonne avec la force de l’évidence dans le , chant de victoire posthume.
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits